Le Culte de la Vieillesse

23 février 2009

Salut les p'tits lous!

Aujourd'hui, Votre Grodard national va aborder un autre sujet qui lui ai cher: la vieillesse. Et Oui! Vous savez, cette pourriture progressive du corps liée par le temps! Celle que tout le monde redoute à des degrés différents. Et cela tombe bien, car ce sujet va alimenter une autre incompréhension de ma part face au genre humain, et intimement liée sur le plan social.

Pourquoi devrions-nous redouter la vieillesse?

Cette question, cela fait quelques mois (voire des années) que je me la pose et je ne comprends pas pourquoi tant de gens redoutent la vieillesse vers lesquelles ils voient quelque chose de forcément néfaste et négatif, comme une lente ascension vers les entrailles incertaines de la mort.

Il y a déjà le côté physique. La dégradation du corps au sens propre du terme, cela, beaucoup de gens ne le supportent pas. Quand je vois toutes ces publicités à la télévision qui mentionnent tous ces produits pour paraître 10 ans plus jeune, et au delà du ridicule et du mépris que cela me procure, je ne comprends pas. Pourquoi ce refus de soi? Ce refus de vieillir, qui, d'un côté s'apparenterait à un refus de vivre?

Il y a peut-être une explication sociale à cela. La modernisation, les nouvelles sciences et technologies ont vu se manifester une nette baisse de popularité des principales religions monothéistes, donc, a une idée de plus en plus floue de l'au-delà et également une vieillesse accrue par rapport à quelques décennies où peu de gens avaient la chance de la voir arriver et dont ils se souciaient d'un degré moindre par rapport à notre époque actuelle. La diabolisation de la vieillesse est quelque chose de récent et nous sommes embrigués dans cette logique, celle que les médias usent pour faire vendre.

Car cette diabolisation a quelque chose de très néfaste sur le plan sanitaire. Je vais vous donner là un exemple révoltant et surtout relativement flippant. Ma mère, violoncelliste, donne des cours à une adolescente depuis près de dix ans. Cette fille en question a malheureusement perdu sa mère récemment ... Et pourquoi cela? Car son corps n'avait pas supporté l'opération au visage de chirurgie esthétique qu'on lui avait faite quelques semaines plus tôt. Après 3 semaines de coma irréversible, elle renda l'âme à l'âge de 50 ans. Morte pour paraître un peu plus jeune ...

Mais je ne vais pas revenir sur le débat de la chirurgie esthétique - même s'il est lié - j'en parlerai peut-être dans un article futur.

Il y a également la peur de souffrir, alimentée en grande partie par certaines maladies dont parlent beaucoup nos médias. Alzheimer étant une des principales causes je pense. Même si l'on peut trouver d'autres motifs ailleurs. Notre société n'est plus faite pour nos ancêtres. Ils s'y sentent délaissés, abandonnés, leur faisant implicitement comprendre qu'ils ne servent plus et qu'il serait temps de passer à la génération suivante. C'est en partie pour cette raison que les gens ne veulent pas vieillir et ne veulent pas s'apparenter aux vieux "typiques" qu'ils ont connus dans leur familles respectives.

J'ai également remarqué que les vieux changeaient. Autrefois, et même encore maintenant, les "vieux" s'apparentaient et s'apparentent à la description suivante: Mamies gâteaux, tabliers bleus à croisillons, meublement austère mais familial, ambiance conviviale et sens moral très ancré. Aujourd'hui, je vois beaucoup - et malheureusement - de vieux agrémenté de sauce "bling-bling", c'est à dire des vieux "branchés" voulant rester jeunes et frisent pour la plupart, le sommet du pathétique. Mais entre ces deux extrêmes, un certain milieu est conseillé.

Nous sommes embarqués dans une société de l'image, donc vieillir reviendrait à en quelque sorte basculer vers "l'erreur", la déchéance, l'inutilité, le poids sur nos descendants, comme un vieux légume archaïque ayant fait son temps et présentant peu d'intérêt socialement parlant. Et je suis contre cette vision des choses, je la combat ardemment, car voyez-vous, je suis fervent défenseur et admirateur de la vieillesse.

Car vieillir est avant tout un honneur, un accomplissement. Une certaine fierté par rapport aux dures lois de la vie. "Je suis encore là! Et je vais encore les faire chier longtemps tu vas voir!" (Discours que tenait souvent mon arrière-grand mère. Malheureusement, elle décédera quelques années plus tard - après avoir prononcé cette phrase - à l'âge de 93 ans). Cela incarne la sagesse, la connaissance et un immuable respect, indétrônable respect. L'ancien, c'est vers celui qu'on se tourne pour avoir des réponses sur la vie et il ne peut nous apporter que des choses positives. Au crépuscule de son existence, l'ancien prend les choses avec une certaine nostalgie; ce qui ne veut pas dire qu'il fait une croix sur son avenir. Nous percevons souvent les vieux comme des gens finis et qui n'ont plus grand chose à vivre; c'est peut-être pour cette raison que nous craignons la vieillesse. Mais ces gens sont comme nous!

Qui ne s'est jamais dit devant un vieux: "Oh le pauvre, il est vieux, il peut mourir très rapidement et de n'importe quelle façon, et pourtant il est heureux"?

Cette question, malgré les nombreux éloges que je viens d'étaler sur les anciens, moi-même je me la pose, peut-être inconsciemment et je m'en veux. Cela voudrait dire que je ne serai pas serein le jour où j'aurai atteins un certain âge respectif? A vrai dire, je ne sais pas ... Personnellement, vieux, je me verrai bien avec des longs cheveux et une longue barbe blanche où j'écoulerai des jours heureux sur un fauteuil dans mon jardin à réfléchir sur des sujets divers et apporter diverses choses aux gens qu'il y aura dans mon entourage et de ma future descendance. Et paraître comme une sorte de sage vers qui on peut se confier ... Voilà comment je la vois la vieillesse ...

Pour conclure, je dirai que j'ai une mentalité proche de celle d'un vieux, d'un ancien ... Est-ce inconscient, est-ce conscient? Je ne sais pas, mais je me sens on ne peut plus moi-même en pensant de cette façon.

La France, quel beau pays!

19 février 2009

Chers amis, je suis consterné ...

Hier, après un concours de circonstances worldwidewebeux, je suis tombé sur de nombreux articles sur le thème suivant: "Racisme Anti-Blanc": Manifestations du CPE, Lynchage médiatique et agressions diverses ...

Et c'est en partie sur les manifestations de 2005 et de 2006 que j'aimerais revenir. Ces jours-là, des milliers de lycéens manifestent dans les rues de paris - pacifiquement - pour contrer le projet de la loi Fillon. La plupart des lycéens manifestent pour la première fois et goûtent aux premières joies (si je puis dire) des luttes syndicales. Je faisais parti de cette manifestation (celle de 2006, mais sans réelle conviction, je ne vais pas vous le cacher ... Ceci dis, le martini était plutôt bien passé).

Sauf que cette "fête" a été ignoblement gâchée par des centaines de couillus, de glandus, de lâches venus uniquement pour "casser du blanc", "casser du français", humilier ces faces de craies". Ils s'en prennent uniquement à ces derniers; les roues de coups, les cognes de toute part, les humilie, les insultes, les racket (téléphones portables, lecteurs MP3s et objets Hi-Tech en tout genre qu'ils revendent en bas de leur cité la journée terminée), s'en prennant tant aux manifestant qu'aux journalistes, et même des commerçants et aux forces de l'ordre. Plusieurs d'entre eux séjourneront à l'hôpital de contusions diverses et des centaines de ces lycéens finiront la journée appeurés, stressés, traumatisés par cet évènement surnaturel qu'il serait plus fréquent de voir à Port-au-Prince ou à Lagos. Une ratonnade méticuleusement organisée par les fautifs. Une haine. La haine du blanc.

Et pourquoi tant de haine envers le peuple qui les ont accueillis? Je vais tenter d'y répondre, car c'est un sujet qui m'irrite au plus haut point ...

- Premièrement, les arabes et les noirs (je parle de ceux-là car ce sont eux qui ont rosser les manifestant) n'aiment pas la France et le revendiquent explicitement. Alors pourquoi sont-ils là? Car la France possède de nombreux avantages: niveau de vie, sécurité sociale ... Et surtout la sécurité raciale ... Et oui ... Un immigré pourra facilement se sentir victime et pourra user de ce précieux alibi pour faire véritablement n'importe quoi et faire marcher sa propagande ...

Deuxièmement, il y a une sorte de "colonisation inversée" à notre encontre, nous, le peuple français. Historiquement, nous les avons colonisés, et, il est vrai, avons été escalavagistes. Mais qui ne l'a pas été? Tous les peuples l'ont été! Y compris les noirs avec les noirs, et les arabes avec les noirs! Les arabes, d'ailleurs, étaient fortement réputés pour leur esclavagisme sans scrupules envers les Africains!

Donc, l'argument "d'ancien pays colonisateur" ne tient absolument pas debout. Ce n'est qu'un vulgaire prétexte amené par l'ignorance non démesurée de ceux qui l'appliquent.

Mais j'ai également l'impression qu'ils veulent "coloniser la France", refaire le mal qu'on leur a soi-disant infligés. Et à travers ces actes, j'ai également l'impression qu'ils veulent assouvir leurs coutumes et leurs cultures car le pire dans tout cela, c'est qu'ils sont défendus! Et oui! Les pauvres immigrés persécutés par ces méchants français racistes! C'est cette propagande contraire qui les amène à comettre de tels actes! Car nous sommes éternellement mauvais! Alors pourquoi devraient-ils nous respecter? Et tout ceci est la faute des ces politiques badauds incompétents, des médias et de la victimisation généralisée de ces gens qui les conduisent à foutre la merde! C'est une sorte de révolution d'auto-flagellation!

Et leur défense? Ils voient du racisme partout. Ils sont paranoïaques. Excessivement paranoïaques. Chaque personne blanche est un raciste potentiel. Un petit mot de travers et il sera catégorisé de raciste et il en prendra plein la gueule. Même s'il ne l'est pas. C'est sous cette "dictature sociale" qu'ils arrivent à s'imposer. Et l'état ne fait rien, au contraire! Ils les encences!

Je prends un exemple concret: Un français moyen insulte un noir ayant un rapport avec ses origines ou sa couleur de peau. Tout le monde lui tombera dessus. Il devra payer une amende, faire peut-être de la prison et sera catégorisé à vie de "raciste! Raciste!".

Maintenant, prenons un jeune maghrébin qui agresse - même violemment - un jeune blanc. Que dira la justice? "Boh ... Erreur de jeunesse, il n'était pas bien, il voulait s'exprimer, mais il ne s'y ai pas pris de la bonne façon ... Affaire suivante?". Et pourtant c'est un crime bien plus odieux et bien plus raciste que celui que je mentionnais en premier. C'est une abbération, une incompréhension. Une injustice d'une grandeur encore jamais égalée.

Car le racisme anti-blanc est comme quelque chose qui n'existerai pas, comme si le racisme n'était valable que dans un sens: Les méchants blancs colonisateurs envers les pauvres noirs fils d'esclaves. Alors quand il y a du racisme contraire, ça ne choque personne et tout le monde trouvera ça normal (Est-ce que l'association "S.O.S. Racisme" défendent les victimes issues d'agressions anti-blancs? J'en doute.)

Et c'est une méthode qui n'a pas de sens, qui est totalement paradoxale. Car la manière dont agissent ces jeunes ne font qu'augmenter le racisme issus des jeunes lycéens qui ont morflés. C'est une inévitable montée de l'extrêmisme alors que c'est justement de ça qu'ils se plaignent! Ils y ont pensé à cela?? Apparemment non.

A ce propos, je vous propose de lire cet article, qui résumera d'une façon relativement clair et précise l'injustice que nous subissons:

"Le cauchemar de Guy Lefèvre"

Voilà où vont les défenses excessives et systématiques des noirs et arabes. Et d'un côté, toute cette extrême protection sociale, c'en serait presque dévalorisant pour eux. Comment voulez-vous qu'ils s'intègrent alors que l'on fait tout pour qu'on puisse les traiter différemment? C'est le chien qui se mord la queue!

Voyez-vous, je ne suis pas extrémiste ni FNiste ... Mais je comprends totalement ceux qui y basculent ... Il n'y a plus de fierté d'être français, ça n'existe plus. Être français, c'est désuet, on préfère le conjuguer au passé plutôt que de l'appliquer au présent. A force de vouloir prôner la mixité, non seulement, on détruis la culture et l'histoire de la France mais on la fragilise officiellement! On la détruit officiellement!

J'ai également remarqué que cet état de fait est très peu présent chez les immigrés asiatiques. Ils sont même d'ailleurs un peu victimes comme nous tous. D'un côté, nous ne les avons pas colonisés ...

Quelques sites pour ceux, comme moi, qui se sentent abandonnés:

- Racisme Anti-Blancs - 1
- Racisme Anti-Blancs - 2
- Définition Wikipédia
- "Mon Quartier Sympa" (ironie sur un habitant de Paris fréquemment sujet à des agressions envers de blancs)

The Endless Driving Lessons

15 février 2009

Depuis quelques jours, vous avez pu observer que j'étais relativement exaspéré, le plus souvent par des faits et actions typiquement humains (d'une manière un peu bancale et accélérée, certes).

C'est pour cette raison que je vais me montrer relativement prudent au sujet d'aujourd'hui. Il concerne la conduite. Le code, le permis et tout se référant à ceci ... Et pourquoi suis-je exaspéré face à cela? En premier lieu, la raison principale est que je suis actuellement en plein apprentissage, donc, c'est un sujet qui me concerne directement. Et le sujet de ma frustration? La façon dont est construit cet apprentissage, que je trouve totalement désuet et bancal.

L'apprentissage du code mis en place actuellement consiste en de nombreuses séances de leçons où vous avez 40 questions à choix multiples où un maximum de 5 fautes est permis pour l'obtention du précieux sésame. Le problème là-dedans, réside dans le fait que l'on apprends toutes les subtilités de la route à travers un vulgaire écran où figurent des images de situations fantomatiques. Et voilà pour moi la clé du problème. Ne serait-ce pas plus simple d'effectuer une partie du code, la base, qui concernerait uniquement la signalisation et de les compléter à travers la conduite - concrètement parlant - pour les situations?



Car voyez-vous, j'ai l'impression de perdre un temps précieux. De plus, je suis consterné par l'affligeant inutilité de certaines questions, ayant un rapport très bref voire quasi nul avec la route à proprement parler (je suis frustré de ça car c'est en partie à cause de ces questions superflues que je me retrouve à vasouiller dans la salle miteuse et délabrée de mon auto-école). Car, avouez, que de connaître le pourcentage des octogénaires calqués sur le bitume ou de savoir où se trouve le liquide de frein à l'intérieur de votre capot n'est pas des plus nécessaires, vous qui êtes venu avant tout pour obtenir votre permis de conduire ... Pas pour passer des théories liées à cette-ci ...

Et le fait est, que sur écran, les situations sont beaucoup moins claires que dans la conduite réelle. Sur écran, vous ne verrez pas le panneau "cédez le passage" à moitié mangé par la bande noire, alors que sur une conduite réelle, vous n'auriez pas pu ne pas l'apercevoir. C'est terriblement handicapant.

Pour conclure, je pense qu'il serait préférable que l'on "coupe" l'apprentissage du code en 2. 1: La base et la signalisation, et de 2: La conduite et les situations. Ce serait quelque chose de plus sûr, de plus simple, de plus rapide et aussi de moins cher. Mais là réside peut-être le problème ...

Un sujet à polémique ...

6 février 2009

Aujourd'hui, j'aimerais aborder avec vous un sujet ô combien sensible ... En visionnant certains commentaires suites aux déclarations respectives du très controversé Eric Zemmour (voir sa fiche Wikipedia) concernant "la notion de distinction de notions de races entre humains".





Depuis une époque relativement récente, nous avons formellement écarté de nos pensées les notions de "races" qui sévissaient entre les hommes (Guerres, Esclavage, Idéologie Nazie et tant d'autre), en affirmant que l'homme était constitué exactement de la même façon qu'il soit africain, aborigène, européen ou asiatique. Car ce terme est assimilé à la persécution de certains individus perçus comme "différents" et perçus comme de "sous-hommes" (il n'y a qu'à regarder notre histoire pour se convaincre de ce détail)

Mais il y a quelque chose qui me gêne profondément là-dedans ... Nous avons "détruit" la notion de race humaine car elle ne représentait que des perceptions et des préjugés négatifs du à notre histoire passée et de la capacité de l'homme a rejeté ce qui lui ait inconnu. En l'occurrence, celui qui est différent. Depuis des siècles et des siècles, beaucoup de civilisations ont été persécutées sous le prétexte qu'elles étaient différentes et qu'ils étaient perçus comme des "bêtes" (Ceci était le point de vue de certains européens qui jugeaient que leur "race" était plus développée que la leur. Et qui était bien sûr réciproque envers les différents peuples qui bordent notre terre)

C'est de ceci qu'est venu le terme "raciste". Mais que veut bien dire ce terme ô combien controversé? Voudrait-il dire de quelqu'un distinguant des formes de "races" entre l'espèce humaine ou quelqu'un dénigrant des gens de peuples et de couleur bien spécifiques comme des personnes "moins intelligentes", plus "sauvages", moins éduqués, perçus comme des êtres possédant moins "d'intelligence" ou dans un cas plus extrême, comme des "sous-hommes"?

Car il faut avouer que ce n'est absolument pas la même chose ... Mais dans notre société, ce terme englobe malheureusement ces deux catégories. Et je dois vous avouer que je m'inscris dans cette première; je crois en la notion de race. Et je vais m'expliquer, et cela d'une façon très pacifique.

Pourquoi sommes-nous tant repoussés par cette idée alors que nous l'appliquons sur de nombreuses espèces animales? Je vais prendre exemple sur peut-être le meilleur exemple qui soit: le chien. Le chien est une espèce animale. Et le chien est démultiplié entre de nombreuses races. Donc, si je me fie à cette logique en fonction de notre société, nous sommes des racistes envers les chiens, car nous les distinguons à travers des "races". C'est inacceptable. Je propose de ce pas de créer un S.O.S Racisme envers les persécutions canines.

Cette métaphore était bien entendu ridicule, mais à titre de comparaison, ce n'est pas très différent de ce qui se passe actuellement dans notre monde. Un chien a plusieurs races mais toutes ces races ne diffèrent pas dans leur comportement. Un sharpeï réagira d'une façon résolument similaire à un St-Bernard. Ils peuvent se reproduire, ce qui créer des mélanges. Ce n'est juste qu'une particularité physique, rien de plus ... Juste une particularité physique ...

Et d'un certain côté, dénigrer les races humaines, c'est également dénigrer les cultures issues de ces races; qui, dans un sens, pourrait peut-être être pire ... Sauf que la société a dit:"Il ne faut pas distinguer les hommes selon leur particularité. Il n'y a pas de race. Sinon t'es raciste! Hoooouuuuu!", qui, selon moi, est une connerie d'une dimension colossale.

Définir certains humains par des races ne me paraît en aucun cas péjoratif. Ce sont juste des particularités physiques, nous sommes constitués de la même façon, mais ceci n'est pas le problème.

Le problème là-dedans, c'est que certaines personnes qui liront cet article me définiront comme un "raciste de deuxième catégorie" qui n'est absolument pas mon cas et que j'aurais du mal à accepter. J'ai de très bonnes relations avec les personnes issues de ces "autres races", car je les perçois comme des êtres humains à part entière avec une certaine particularité qui fait le charme de la diversité humaine ...

Pour conclure, je dirais que le terme "raciste" est inadapté à la situation actuelle de la société, que c'est un terme faux et qu'il faudrait le diviser en deux parties concernant les deux types de racisme que je mentionnais plus haut. Qui, selon moi, n'est pas au goût du jour, des efforts sont à faire ... Beaucoup d'efforts ...

La Complexité de la Raison

5 février 2009

Bonjour chers internautes!

Cela fait fort longtemps que je ne vous ai pas écrit ... Je ne vais pas revenir sur la raison du pourquoi du comment car je l'ai assez souvent mentionnée dans certains de mes articles ...

Mais mon point de vue ne cesse d'évoluer! Et de changer ... Ce qui constitue un premier obstacle à la construction d'articles nets, cohérents et dénué de contradiction.

A cette brève introduction, j'aimerais aborder avec vous le thème ô combien complexe suivant:

"La raison est-elle compatible avec le bonheur?"

Cette question prend une place forte dans mon esprit depuis un certain temps, et je dois vous avouer que plus le temps passe et plus j'aurais tendance à accepter cet état de fait. Cela reviendrait à dire - très grossièrement - que l'homme constitue une sorte d'erreur, car la raison est la seule chose qui différencie l'homme du monde animal qui l'entoure. Quand au bonheur, c'est également quelque chose purement humain qui est intimement lié à cette dernière.

Ce qui constituerais un premier paradoxe. Car quand l'on regarde, que l'on observe le comportement - d'après nos connaissances accumulées au fil du temps - du monde animal, nous y voyons de la peur (guidé par l'instinct de survie), de la sérénité et de l'envie (d'après mes propres observations, ceci n'a rien de scientifique) ... Mais un animal peut-il être heureux, quand on sait que sa raison d'être est guidé par cet instinct?

Ce qui reviendrait à dire, donc, que la doctrine existentielle se situerait uniquement au niveau de la présence et non au plaisir que rapporte cette présence, ou de cette existence ... Cela paraît comme la loi fondamentale de la vie ... Mais pourquoi a-t-elle le dessus? Quel est donc le véritable but de survivre alors même si la vie que nous vivons (ceci comporte tout le monde animal) ne présente qu'un acharnement intempestif quotidien et détestable pour tenter de garder celle ci en un état stable? Pourquoi la nature a inclut dans notre système primordial cette faculté à préserver notre vie par tous les moyens, alors que dans un certain sens, elle n'ai pas prévu de place au bonheur, qui constitue l'élément primitif vital, pour nous, humains, munis de notre conscience?

Car j'ai remarqué bien souvent par rapport à mes propres pensées ... Quand je réfléchi peu, j'ai tendance à prendre la vie naturellement, comme elle vient. C'est à dire l'inconscience, la réelle importance que l'on accorde ce que l'on fait sur le moment ; mais malheureusement, ce n'est quelque chose que je ne peux faire, car ne pas réfléchir, c'est en quelque sorte ne pas trouver l'issue sur son "soi", sur sa personne et sur son existence et se serait dans un certain sens se dénigrer et se trahir soi-même ... Car quand je réfléchi, je ne trouve bien entendu que de vulgaires hypothèses d'une affligeante banalité philosophique, qui, bien sûr, ne me font que très peu avancer sur ma raison d'être. Et plus je pense, plus je retiens les aspects négatifs de ces différentes phases de réflexions, préparées ou non.

Donc, je suis en sorte condamné à me tourmenter le crâne, tout ça dans une vision en quelque sorte opposée à la doctrine qu'a ordonnée la vie qui nous a faites. Ne serait-ce pas justement une erreur de vouloir à tout prix connaître "la vérité"? Car nous nous engageons sur une route sans issue. Et même si nous pourrions parvenir à l'issue de cette dernière et de la prouver, les conséquences pour notre esprit seraient peut-être énormes dans le sens où nous ne serions pas aptes et conçues psychologiquement pour l'accepter. Mais d'un côté, si nous ne pourrions l'accepter, nous ne pourrions également la prouver ... Ce qui constitue un deuxième paradoxe.

Il y a aussi la fierté de l'homme, ce que l'on appelle "amour-propre" ou "estime de soi" et qui dans un sens, ne sert strictement à rien (sur le point de vue instinctif du terme) ... Qui peut détruire quelqu'un si il estime qu'elle a été bafoué par quelconque évènement qu'il juge tragique pour lui. Ce qui prouve que l'homme ne maîtrise pas totalement sa conscience, que c'en est à un stade relativement précoce quand l'on voit les nombreuses lacunes ou nombreuses contradictions qui opèrent en lui.

Car en fait, quelqu'un qui n'est pas heureux est quelqu'un qui vit sa vie en fonction de ce qui va arriver et pas en fonction de ce qui lui arrive ... Ce qui constitue un obstacle naturel dans sa pensée qui lui empêche de vivre convenablement. Et souvent, cette personne fera un point constant de ce qui va survenir dans le future d'une manière globalement négative et fataliste. Il réalise un "schéma apocalyptique" dans sa tête où toutes les déconvenues et tous les malheurs envisageables pourraient lui arriver à partir de ce schéma.

Cette pensée néfaste est en grande partie du à l'estime de soi et à l'amour propre, car le protagoniste à peur de "mal faire" et est prêt à juger durement chaque geste de sa propre personne ... Si il ne possédait pas cette fierté naturelle, l'Homme serait peut-être plus serein ...

Je vais vous donner un exemple ... Vous avez un rendez-vous important. Il faut que vous soyez correct, sûr de vous et il faudra que vous ayez une certaine aisance à vous exprimer. Ne serait-ce que par ces principaux facteurs, vous imaginerez en premier lieu, avant toute chose, le pire. Vous vous ferez un scénario cauchemardesque dans votre tête et vous aurez déjà honte de vous alors que vous venez à peine de raccrocher le téléphone pour donner une date à ce rendez-vousqui vous tracasse tant!

Car l'on se rend compte que la plupart des évènements que nous avions prévu dans notre "schéma apocalyptique" ne se passe jamais comme nous aurions pu l'imaginer (c'est à dire d'une manière négative). Et il est très fréquent que sur le moment même de l'évènement, on soit résolument soulagé de voir que nous avons très bien supporté cette "phase de transition".

Si je parle de ça avec autant de facilité, c'est que je m'inscris pleinement dans cette catégorie, que j'ai réussi plus ou moins à rationnaliser avec le temps ... Du moins, de mon point de vue et des différentes expériences passées ... C'est un stress inutil, du point de vue humain. Mais quelque chose de vital pour les animaux que nous n'avons jamais cessé d'être ...